Le chien est un carnivore opportuniste, rien ne l’empêche de manger autre chose que des protéines ou des graisses s’il en a l’occasion.
Il ne dira pas non à un morceau de pain, ou un biscuit, ou un morceau de fromage qu’on lui propose.
Cependant pour rester en bonne santé, son repas doit être composé de protéines en moyenne 3 à 5g / kg selon l’activité et le type de chien, pour un chat plus de 5g / kg, mais attention ! Pas n’importe quelles protéines, car 100% des protéines ne sont pas à 100% assimilés par nos amis carnivores.
Avant tout, il faut savoir que pour 100 g de protéines les viandes en contiennent 20 à 30g, alors que les céréales cuites seulement 4g, imaginez la quantité de céréales qu’il faudrait pour atteindre les besoins d’un chien ou d’un chat ?
Mais ce n’est pas tout ! Plus la qualité d’une protéine appelé « valeur biologique » est bonne, plus elle pourra jouer son rôle. Cette valeur biologique est déterminée par sa composition en acides aminées essentielles.
Et seules les protéines animales ont une valeur biologique cohérente pour répondre au besoin d’un chien ou d’un chat en acides aminés. A titre d’exemple le Maïs à une valeur biologique de seulement 49, alors qu’un blanc de poulet de 95 en partant de la mesure 100, valeur biologique maximum, pour un œuf de poule. Source : Docteur Morand, vétérinaire présidente de BARF asso https://www.vetonaturel.com/single-post/2017/10/26/Idées-reçues-n°3-Sur-les-protéines-vol-2
Or pour fabriquer une croquette, nous avons besoin d’amidon. Son choix est essentiel pour respecter les variations de glycémie du chien ou du chat.
Un amidon ou un glucide à indice glycémique haut, va libérer rapidement les sucres dans le sang de l’animal et va augmenter les risques de diabète et les variations du comportement du chien, qui peut passer de l’hyperactivité soudaine, à des baisses de régime.
C’est pourquoi, nous avons choisis la patate douce, qui à l’inverse, va stabiliser les sucres dans le sang, et va procurer un taux élevé de protéines comparé à des céréales classiques difficile à digérer ou des légumineuses qui contiennent des acides phytiques empêchant l’assimilation des nutriments.
Ainsi, nous sommes fiers d’avoir mis en place ce que l’on appelle le principe du B.O.F « Behavioural Optimizing Food »
